Pourquoi les Articles?

 

On entend dire maintenant un peu partout qu’il existe un nouveau droit international à l’avortement.

 

Ceux qui reçoivent ce message sont des gens qui ont le pouvoir de changer les lois sur l’avortement : parlementaires, juristes, juges, etc.

 

Ceux qui transmettent ce message sont des gens influents et faisant autorité; membres du personnel de l’ONU, juristes des droits de l’homme, juges, etc.

 

Ce qu’ils affirment est faux. Aucun traité des Nations unies ne fait de l’avortement un droit de l’homme.

 

Et pourtant, l’affirmation gagne du terrain partout dans le monde. La Haute Cour de Colombie a renversé la législation du pays concernant l’avortement sur la foi de cette fausse affirmation. Beaucoup d’autres envisagent de l’imiter.

 

Les Articles de San José sont là pour vous apporter la preuve que ce droit n’existe pas. Les Articles ont été rédigés par un groupe de 31 spécialistes en droit international, relations internationales, organisations internationales, santé publique, science/médecine et gouvernement. On compte parmi les signataires des professeurs de droit, des philosophes, des parlementaires, des ambassadeurs, des juristes des droits de l’homme et des délégués à l’Assemblée générale des Nations unies.

 

Les Articles de San José servent également à démontrer que l’enfant à naître est déjà sous la protection des droits de l’homme et que les gouvernements devraient déjà commencer à assurer sa protection en mettant en vigueur le droit international.

 

Nous espérons que les experts du monde entier placeront un exemplaire des Articles de San José sur leur bureau pour présenter ce témoignage de spécialistes la prochaine fois qu’ils entendront cette fausse affirmation.

 

Nous espérons également que les Articles de San José feront bientôt leur apparition dans les revues de droit, les résolutions parlementaires et dans les débats de l’Assemblée générale des Nations unies.

 

Finalement, nous espérons ardemment que les gouvernements commenceront à faire usage du droit de se référer à la législation internationale existante pour protéger l’enfant à naître contre l’avortement.

 

Ceux qui affirment faussement qu’il existe un nouveau droit international à l’avortement ont eu la parole depuis trop longtemps.

 

Les Articles de San José la leur enlèvent.